La Suisse est unique en raison de sa stabilité historique, de son expertise bancaire reconnue de longue date, de la fiabilité et de l’expertise de ses banquiers privés, et de la confidentialité gravée dans la législation.
La Confédération suisse est née en 1291, et depuis cette date elle s’est diligemment efforcée de préserver son indépendance et d’éviter les conflits qui ont meurtri les autres pays européens. Cette stratégie a donné lieu à la stabilité économique et politique qui caractérise la Suisse d’aujourd’hui.
L’histoire de la banque suisse remonte aux années 1500, époque à laquelle des courtiers, des agents à la commission et des agents de transit, spécialisés dans le crédit et les lettres de change pour le commerce de marchandises, ont fondé les premiers établissements bancaires reconnus. Quant à l’origine des «banquiers privés» avec lesquels nous traitons, elle remonte au 18ème siècle. Ces banquiers privés représentent en fait l’ancêtre de la banque suisse. La loi fédérale sur les banques promulguée en 1934 a donné aux clients la protection juridique dont ils bénéficient encore aujourd’hui. Au cours du 20ème siècle, la réputation de spécialistes en gestion d’actifs des banquiers privés a traversé les frontières pour être reconnue à l’échelle internationale, telle qu’elle l’est aujourd’hui.
Le devoir professionnel de confidentialité des banquiers suisses est inscrit dans l’article 47 de la loi fédérale de 1934 sur les banques et les caisses d’épargne. La loi suisse traite différemment certaines infractions par rapport aux autres juridictions, notamment les délits fiscaux qui sont considérés comme des infractions ne justifiant pas la divulgation des informations du client à des tierces parties. Le secret et la confidentialité bancaires font l’objet d’une surveillance constante de la part de la Commission fédérale des banques, et sont considérés comme inviolables, sauf circonstances exceptionnelles.
Cependant, nous tenons à souligner qu’aucune protection n’est accordée aux criminels ou aux fonds provenant d’activités criminelles. Les banques clientes refusent systématiquement d’accepter des liquidités dont l’origine est douteuse.
Définition d’un banquier privé Suisse
L’expression « banquier privé » n’a pas la même signification que « banque privée », une expression couramment employée de nos jours par divers organismes qui vous proposent de gérer vos biens. Ce type de services est couramment défini comme des « services bancaires privés » ; cependant en Suisse, le terme « banquier privé » correspond à une définition spécifique établie par la loi fédérale suisse sur les banques. Le statut spécifique du « banquier privé » précise qu’au sein de la banque, au moins un partenaire est responsable sans aucune limite des engagements de la banque. Au titre de la loi suisse, seuls les individus qui remplissent les conditions spécifiques et rigoureuses associées au « banquier privé » sont en droit d’utiliser ce titre. Un « banquier privé » est une personne ou une banque exceptionnelle ; la « banque privée » peut relever d’une autre définition.
Les véritables «banquiers privés» sont des experts professionnels indépendants et discrets ; ils savent associer tradition, originalité et modernité. Le banquier privé est un banquier et un entrepreneur qui assume l’entière responsabilité sur ses biens professionnels et personnels.
Les véritables banquiers privés sont les banquiers du monde. Toutes les banques avec lesquelles nous traitons sont irréprochables et sont supervisées par la Commission fédérale des banques. Nous tenons cependant à préciser que toutes les banques sont différentes.
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